Il existe un accord universel parmi les propriétaires d’entreprise avisés qu’un site Web doit produire un retour sur investissement (ROI) positif.
Qu’un site Web contribue à la santé financière et à la prospérité d’une entreprise relève du bon sens. La partie délicate est de savoir comment cela doit être mesuré, en particulier pour les sites Web non commerciaux. Regardons comment cela est fait.
Parfois, la proximité est assez bonne
Mesurer le retour sur investissement d’un site Web de commerce électronique est assez simple. Du côté simple, ce calcul s’élève à (Revenus – Dépenses) / Dépenses = Retour sur investissement. Du côté complexe, cette formule de base peut être légèrement modifiée pour inclure les revenus futurs (valeur client à vie).
Ci-dessous une vidéo parlant de ces mesures :
La partie délicate de cela pour les sites Web non commerciaux réside dans le calcul des revenus du site Web. Les dépenses qui entrent dans le site Web sont la partie la plus facile à comprendre, la partie revenu est plus compliquée lorsque ces revenus ne proviennent pas d’un panier d’achat en ligne.
Les vérifications nécessaires
Un site Web médiocre ou manquant peut coûter beaucoup d’argent à l’entreprise. Ce grand coût se présente sous la forme de ventes perdues. Cela se produit même lorsque le contact avec le prospect est établi hors ligne par le biais d’une recommandation, d’un réseau personnel, d’un appel téléphonique ou d’une publicité. Même lorsque l’ensemble du processus de vente est mené en personne ou par téléphone, l’absence d’un site Web incitera certains clients potentiels qui s’intéressent par ailleurs à vous et à votre entreprise à vous retirer de leur liste de considération.
La façon dont cela se produit est que vos prospects se connectent en ligne pour effectuer leur propre diligence raisonnable avant de signer sur la ligne pointillée. Ce qu’ils découvrent sur votre entreprise peut en effet, et fait souvent, faire ou défaire la vente.