À moins de se dénicher un autre nom de domaine et un certain nombre de choses, ravoir les services de Google AdSense sur son site internet est impossible. Mais même s’il peut avoir été une source viable de petits revenus, cet outil est seulement une des nombreuses solutions pour amortir ses investissements et engranger des plus-values du web.
Blocage AdSense : c’est aussi fâcheux que ça ?
Quand une entreprise du web se fait bannir de la communauté AdSense sans qu’aucune raison, valable ou non, n’ait été évoquée par la toute puissante Google, c’est à se demander s’il n’y a pas injustice quelque part. Mais en fait, comme on s’en doute, à la base de tout ceci, il y a un automate (Mediabot) et un algorithme. Tout le monde, de bonne ou mauvaise foi, est mis dans le même panier ! Sinon, hormis le fait qu’AdSense n’admet pas qu’un concurrent se tient à ses côtés sur la page web, gagner des sous conséquents risquent aussi de prendre du temps… Donc, s’il y a une meilleure alternative, beaucoup adhèreront !
D’autres outils qui concurrencent bien AdSense.
Il y a par exemple Clicksor, une autre régie versée dans le contextuel, qui se dresse en concurrent sérieux pour AdSense. Moins drastique dans le positionnement de ses bannières, Clicksor n’est pas moins avantageux en termes de rémunération : jusqu’à plus de 80% de bénéfices par annonces ! À côté, on peut aussi utiliser divers concepts bien français de régie publicitaire, lesquels semblent peu à peu prendre le pas sur AdSense, on peut citer PubDirecte ou encore Promobenef.
Mais le fait est que tous se valent.
Peu importe en effet la bannière que vous portez, ou le genre de produits que vous proposez. Hormis les règles établies par chacune de ces régies, leur utilisation fait préalablement appel à d’autres investissements moraux, intellectuels, financiers… En gros, il faut d’abord soigner le design et la performance de son site.