D’après le fondateur d’un célèbre réseau social, la communauté est déjà là. Il suffit de susciter son organisation et sa gravitation durable autour de la marque ou de l’entreprise. Aujourd’hui, la mise en route de communauté est confiée à un nouveau venu du monde du web : community builder ou manager. Son existence est fondée sur certaines difficultés liées tenant à l’entretien du comportement de la communauté : orientation des membres, modération des contenus… à travers des analyses on ne peut plus pointues.
Qui est le community manager ?
La date précise de la première mise en vogue de cette responsabilité n’est pas déterminée. Mais le métier nait face à des besoins de plus en plus cruciaux de réguler les commentaires et critiques des membres. Comme dans un forum, ceux-ci ne manquent pas de propos diffamatoires, en voguant dans une atmosphère plutôt anarchique. Le community Manager, c’est la personne qui connait son entreprise et ses produits et qui comprend les adhérents, pour concilier tout le monde. C’est celui qui anime les conversations censées être constructives et attirer de nouveaux membres. Bref, c’est un maillon important dans toute stratégie de communication.
Quel est le but du community manager ?
En gros, le community builder est en charge de mettre en lumière toutes les activités de l’entreprise et ses marques, en étant plus informé sur les produits de la boîte, le marché et le secteur d’activités… C’est de cette façon qu’il pourra diriger tout le groupe, sans pour autant trop interférer dans les réactions. Parce que l’une des finalités de la communauté, c’est de laisser les membres se constituer par « eux-mêmes » élément phare de la stratégie de communication de l’entreprise. L’objectif, c’est de créer un esprit d’appartenance parmi tout ce beau monde, et le ramener à plébisciter une idée, un concept, une marque, une entreprise.